Véronique Vernette s'explique sur la reprise de cette pièce à gros succès:

Nous allons jouer le dimanche 23 novembre à 15h, à la salle des fêtes, la pièce "La Princesse et le Pirate". Il s'agit d'un véritable événement culturel car ce conte est la première adaptation théâtrale de "Princess Bride" de Rob Reiner, primé au festival d'Avoriaz en 1988 (Antenne d'Or).  Ce film est un film culte, comme le "Seigneur des anneaux", pour toute une génération et il le reste encore aujourd'hui. Nous aimerions créer cet événement d'abord sur Tourrette, afin de remercier notre maire de son aide précieuse pour le développement de la culture sur notre département, avant de la jouer aux Estivales, puis au festival d'Avignon. Nous l'avons améliorée, créé d'autres effets spéciaux, notamment un brouillard rasant dans les marais de Feu, une machine à aspirer la vie électronique. Nous sommes à présent dans une dynamique professionnelle et les adultes de l'ancien cours deviennent des acteurs à part entière dans la Compagnie "le Coryphée". L'adaptation est de Sandra Hollard, la mise en scène de Véronique Vernette.
 L'entrée est gratuite.

Voici ce qu'on pouvait lire après la représentation du mois de juin dernier:

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Dans son association "Le Coryphée-Côté jardin", Véronique Vernette essaie non seulement de former des amateurs (enfants ou, ce soir-là, adultes) au théâtre, mais aussi de leur permettre de se dépasser eux-mêmes. Car se produire sur les planches n'est pas toujours évident. Les adultes paient 90 euros par trimestre pour apprendre, s'amuser et distraire. "La Princesse et le Pirate", donnée à la salle des fêtes devant un très nombreux public ravi, est le résultat de leur travail. Cette adaptation d'un conte par Sandra Hollard est servie par une mise en scène savoureuse de Véronique Vernette (les crânes curieux, façon "marionnettes", les barques très stylisées...) La distribution est dominée par Franck Mari, Laurent Hollard, Jean-Michel Icart et Fathia Paquet. A noter des costumes de qualité et des passes d'arme à l'épée (main droite et main gauche) assez stupéfiantes pour une production économique où chacun met la main à la pâte.
Le résultat est un divertissement fort distrayant, sans aucune longueur et frappe sa cible "tout public" en plein milieu. On s'esclaffe, on éclate de rire, on applaudit au milieu des scènes; en un mot, on participe. Ovation debout! Une pièce qui mérite d'être jouée un peu partout à Nice et à Avignon notamment.
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En conclusion, réservez absolument votre après-midi du dimanche 23 novembre: très sincèrement, le spectacle vaut le déplacement!

Valéry d'AMBOISE