Les enfants du Coryphée jouent à leur tour

Dans le théâtre antique, le coryphée était le chef de choeur dont on se souvient qu'il jouait un rôle très important dans l'action.
Chez nous, le coryphée s'appelle Véronique Vernette. Elle tient solidement les rênes de son association baptisée très justement "le Coryphée" et fait des miracles aussi bien avec les petits qu'avec les grands (voir l'article consacré aux adultes).
Des miracles? C'est sans doute pour illustrer cette vérité qu'elle a envoyé "Cendrillon à la cour des miracles", une version plutôt iconoclaste, au milieu des détritus et des poubelles, du charmant conte aux multiples versions (mais sans doute pas celle-ci) fixées par Charles Perrault. La poésie a été remplacée par le hip hop et autres fantaisies pour le moins 21e siècle. Les enfants y étaient comme des poissons dans l'eau, même si elle était un peu trouble.
Auparavant, les petits s'étaient illustrés dans une histoire en costumes du début du 20e siècle "le Vol de la momie". Attention, la Momie n'était pas un avion... mais les comédiens tous des aigles.
Ensuite, "le Rêve de Max" et "le Grand Restaurant" ont permis aux autres jeunes artistes de s'exprimer eux aussi, du plus petit au plus grand.
Une saison qui, semble-t-il, est encore meilleure que le cru 2011. Mais jusqu'où Véronique ira-t-elle! Bravo à tous!

VdA

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