Le couscous du RCC, c'est Austerlitz.
Vive l'impératrice !
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La bataille Comme son compatriote Napoléon (la belle impératrice a des origines corses), Anne-Marie Première a préparé avec soin la bataille. Comme à Austerlitz, elle a dégarni son aile droite, n'y laissant que sa garde personnelle de grognards, pour attirer l'armée austro-russe vers ce point apparemment facile à enlever. Nous autres appelons cela les apéritifs. L'impératrice avait vu juste: tous se sont précipités dans le piège et les grognards, comme ils avaient ordre de ne faire aucune victime, ont mitraillé les assaillants à coups de rondelles de soubressade, de boutifare, de cacahuètes, et autres charcuteries, friandises et boissons diverses qui ont largement affaibli les troupes austro-russes. Valéry d'AMBOISE |
Autres illustrations : |
Les premiers soldats de l'armée impériale commencent à arriver |
Ci-dessus, le piège de l'aile droite et quelques grognards (à droite) pour mitrailler l'assaillant Ci-dessous, Alain Cane, duc de Monte-Carlo, entonne l'hymne national... |
L'hymne national (ci-dessus) et "Les Africains" (ci-dessous) |
Ci-dessus, les officiels; on reconnaît notamment, non cités dans l'article, autour de la présidente Anne-Marie Bailet et du Dr Frère, Michel Cornebois, président départemental de l'UNC; Sauveur Torrente et Sauveur Bucaro, présidents de "Souviens-Toi"; le 1er adjoint Jean-Pierre Fabre; ci-dessous, quelques membres de la Grande Armée. |