Pour un budget d'un million d'euros (dont la commune ne paiera pas un centime; voir mon article sur le gaz), autour du maire et de Georges Simon, il n'y avait à la mairie que de jeunes loups (et louve), et des costauds (je veux dire, au niveau "compétences"), pour cette importante réunion d'étude du vaste projet d'assainissement de Tralatorre. Plan sur la table, tout est prêt. Guillaume Tonneau (maître d'oeuvre STI), Benoît Brugeilles, Hugues Bailly (SCD bureau d'études), Céline Bussinger (CANCA) le promettent: le printemps des Tralatorriens sera sain et autour du 1er avril, le poisson tout frais.  Plus de fosses sceptiques, plus d'égouts dégoûtants.
Bon, soyons objectif, il y aura bien, comme toujours, un ou deux mois de retard. Alors parions: fin des travaux milieu du 2e trimestre 2007. Si je perds, je mange ma souris (rassurez-vous, elle est en pâte d'amande).

La bonne nouvelle? Elle est incroyable, étonnante, inimaginable, stupéfiante etc (ici, il faudrait placer le fameux couplet de la marquise de Sévigny): on ne va creuser qu'une seule fois pour l'assainissement et les canalisations d'eau refaites en même temps. Pour avoir assisté à de nombreux débats, ici ou là, entre des responsables de l'eau, du gaz, de l'électricité, du téléphone, de l'assainissement, de l'équipe de Spaggiari, du contre-espionnage et autres générateurs de taupinières, je puis vous garantir que c'est un exploit!

Valéry d'AMBOISE