Festival-Liszt

N'en déplaise à certains qui prétendent que les Tourrettans n'apprécient pas la grande musique, la vraie, plus de 150 personnes assistaient au concert tourrettan du Festival Liszt. Et leurs applaudissements chaleureux ont montré leur plaisir à se trouver là, dans ce cadre magnifiquement restauré qui valait, à lui seul, le déplacement.
Chacun avait en main le programme réalisé avec un soin très rare par Michèle Frère, la coorganisatrice de l'événement (association Festival Franz-Liszt Levens); des heures de travail pour décrire en détail les oeuvres, leurs auteurs et leurs interprètes: sûrement du jamais vu avec cette qualité!
C'est ainsi qu'André Peyrègne, avec son humour habituel, a présenté en direct ce concert de musique de chambre.
– Brahms avec sa sonate FAE* (l'excellent Thierry Amadi au violoncelle),
– Kreisler, le fabuleux violoniste (fabuleuse interprète Liza Kerob) avec son tambourin chinois,
– Poulenc, pour la charmante sonate pour flûte et piano, un peu décalée dans un festival Liszt, mais magnifiquement interprétée par Philippe Bender et Marika Hofmeyr, pianiste de très haut niveau, omniprésente à ce concert.
– Carl Maria von Weber (l'auteur du Freischütz qui est donné à l'Opéra de Nice) avec son trio pour flûte, violoncelle et piano.
A la mi-temps, Liszt était mené quatre à zéro... euh pardon, j'ai changé de chaîne un peu vite. Revenons au concert, qui a repris après un quart d'heure de pause:
– Haendel, avec sa passacaille adaptée magistralement pour violon et violoncelle par le Norvégien Johan Halvorsen, peu connu et pourtant musicien postromantique de qualité, contemporain de Richard Strauss, Mahler et Debussy (entre autres).
– Mendelssohn pour finir, avec son trio pour violon, violoncelle et piano.
A la fin du concert de ce Festival Liszt, le beau-père de Richard Wagner, en véritable Arlésienne, était vaincu par 6 à 0...

Valéry d'AMBOISE

*Rappelons que les anglo-saxons, notamment, emploient les lettres C, D, E, F, G, A, B à la place de notre gamme do ré mi fa sol la si, issue d'un chant grégorien:
Ut queant laxis
Resonare fibris
Mira gestorum
Famuli tuorum
Solve polluti
Labii reatum
Sancte Iohannes

Festival Liszt dans l'église Ste-Rosalie
N'en déplaise à certains qui prétendent que les Tourrettans n'apprécient pas la grande musique, la vraie, plus de 150 personnes assistaient au concert tourrettan du Festival Liszt. Et leurs applaudissements chaleureux ont montré leur plaisir à se trouver là, dans ce cadre magnifiquement restauré qui valait, à lui seul, le déplacement. Chacun avait en main le programme réalisé avec un soin très rare par Michèle Frère, la coorganisatrice de l'événement (association Festival Franz-Liszt Levens); des heures de travail pour décrire en détail les oeuvres, leurs auteurs et leurs interprètes: sûrement du jamais vu avec cette qualité! C'est ainsi qu'André Peyrègne, avec son humour habituel, a présenté en direct ce concert de musique de chambre. – Brahms avec sa sonate FAE* (l'excellent Thierry Amadi au violoncelle), – Kreisler, le fabuleux violoniste (fabuleuse interprète Liza Kerob) avec son tambourin chinois, – Poulenc, pour la charmante sonate pour flûte et piano, un peu décalée dans un festival Liszt, mais magnifiquement interprétée par Philippe Bender et Marika Hofmeyr, pianiste de très haut niveau, omniprésente à ce concert. – Carl Maria von Weber (l'auteur du Freischütz qui est donné à l'Opéra de Nice) avec son trio pour flûte, violoncelle et piano. A la mi-temps, Liszt était mené quatre à zéro... euh pardon, j'ai changé de chaîne un peu vite. Revenons au concert, qui a repris après un quart d'heure de pause: – Haendel, avec sa passacaille adaptée magistralement pour violon et violoncelle par le Norvégien Johan Halvorsen, peu connu et pourtant musicien postromantique de qualité, contemporain de Richard Strauss, Mahler et Debussy (entre autres). – Mendelssohn pour finir, avec son trio pour violon, violoncelle et piano. A la fin du concert de ce Festival Liszt, le beau-père de Richard Wagner, en véritable Arlésienne, était vaincu par 6 à 0... Valéry d'AMBOISE *Rappelons que les anglo-saxons, notamment, emploient les lettres C, D, E, F, G, A, B à la place de notre gamme do ré mi fa sol la si, issue d'un chant grégorien: Ut queant laxis Resonare fibris Mira gestorum Famuli tuorum Solve polluti Labii reatum Sancte Iohannes
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Le président Bailet, de l'association Festival Franz-Liszt Levens; ci-dessous, quelques bénévoles de l'association


Le public; à remarquer, au premier rang, le père Khadi, Michèle Frère, le 1er adjoint tourrettan Bertrand Gasiglia représentant le maire, en déplacement à St-Petersbourg, l'adjoint Luc Nativel, le 1er adjoint levensois Thierry Mièze et sa charmante épouse. Ci-dessous, à droite, le célèbre chef de choeur Jean-Pierre Grégoire...


D'autres aspects du public; ci-dessous, au dernier rang, au centre, la dévouée conseillère municipale (et infirmière) Denise de Plantay et son mari...


La présentation du concert par André Peyrègne, sous l'oeil attentif, notamment de Michèle Frère et Bertrand Gasiglia...


La tourneuse de pages, puis Marika Hofmeyr au piano et Thierry Amadi au violoncelle.



Ci-dessus, au violon Liza Kerob et, toujours, la flamboyante Marika Hofmeyr au piano, avec sa tourneuse de pages



A remarquer à droite la présence de la pianiste tourrettanne Gisèle Armana. Ci-dessous, le grand chef d'orchestre Philippe Bender à la flûte, avec Marika Hofmeyr et Thierry Amadi au violoncelle.


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