Espace Chubac, salle culturelle des mariages, maison des Remparts, musées, château (bientôt les Nuits musicales et culturelles), église baroque Ste-Rosalie (et ses concerts): la commune du docteur Frère s'inscrit de plus en plus dans cette culture qui commence à faire la renommée de Tourrette-Levens, dans un contexte de renouveau médiéval.
Des artistes de niveau planétaire sont venus s'installer, par exemple Isolde Baumgart et Jim Monson, très présents dans la vie culturelle tourrettane, et puis d'autres les ont suivis. Certains, "artisans d'art", d'autres, "artistes authentiques". C'est ainsi qu'avenue du Général-de-Gaulle, un atelier s'est ouvert, véritable pépinière: Florence Laugier et ses vitraux très prisés, Mihaela Articuci qui restaure les oeuvres d'art avec talent, et trois autres artistes, sans oublier Ana-Paula, la "haute-couturière" (encore un néologisme qui va faire gronder les académico-arriérés qui refusent de respecter l'arrivée de la femme dans la culture du 21e siècle; mais ils y viendront eux aussi... au 22e siècle sans doute ). Ajoutons l'atelier, tout proche, de Serge Megtert, encore un artiste. J'en oublie, qu'ils me pardonnent et se manifestent.
Lors de la visite de ces ateliers, le docteur Frère a insisté sur l'appui total de la commune qui, dans la mesure du possible, privilégie ces artistes pour ses commandes officielles.
Et le premier ignare qui tord du bec, nez en l'air, en disant que cela n'amène rien aux Tourrettans, je lui rétorque qu'enrichir la commune enrichit ses habitants. A tous points de vue.
Valéry d'AMBOISE
Ci-dessus, Luc Nativel (adjoint au patrimoine), sainte Rosalie en restauration, le docteur Frère et Mihaela Articuci (la demoiselle habillée; l'autre dame, à droite, a croqué la pomme: ce doit donc être Eve!)
Ci-dessous, les mêmes mais avec une adjointe de Serge Megtert, dans son atelier, montrant la future façade de la chapelle Saint-Antoine; derrière elle, un projet de céramique pour la cathédrale de Milan.
