Hubert POISSON

DISCOURS de HUBERT POISSON AU CONSEIL MUNICIPAL DU 5 OCTOBRE 2006

Lorsque j'ai fait le choix de m'investir dans la politique, c'est parce que la politique était à mon sens le moyen de participer à l'expression et à la réalisation des intérêts collectifs.

Chacun à Tourrette-Levens connaît mon parcours, les combats auxquels je me suis associé, et l'intégrité avec laquelle je défends à la fois mes idées et les volontés collectives, sans les renier, qu'elles soient partagées ou non.

Les avancées, les progrès, ce n'est pas un homme seulement, c'est aussi une équipe avec une harmonie, avec des projets, des actes et une volonté réelle d'apporter tout ce qu'une commune peut procurer en terme de qualité de vie à ses citoyens.

Depuis que je siège à ce conseil municipal, je suis amené au constat que Monsieur le Maire et son équipe sont notamment dans le droit fil de ma vision de l'intérêt collectif.

Ce constat est permanent, et lorsque des divergences ont porté à débat, j'ai été également amené au constat que la conclusion de nos discussions résultait de la raison, de l'écoute, du dialogue, de la réflexion, de la concertation.

Le terme d'opposition n'a plus, en ce qui me concerne, de sens ici.

Voilà donc ce qui a motivé ma décision de vous demander, Monsieur le Maire, à rejoindre votre équipe, et engager dorénavant ma dynamique au service de l'expression de la majorité tourrettane.

Rejoindre cette équipe, c'est pour moi continuer à participer à son ouvrage que j'estime cohérent, constructif et respectueux de l'intérêt des administrés D'autre part, je tenais également à souligner l'attitude plus que négative de mes anciens colistiers.

Je voudrais répondre au sujet de ma noyade paru dans le feuillet « Le mauvais écho Tourrettan » que je suis satisfait de m'être noyé dans la majorité municipale.

Je constate que les blancs sont durs à combler, d'où ce lazzi (ou ce quolibet, cette plaisanteire) de cours de récréation enfantine.

Hubert POISSON, conseiller municipal (ci-dessous, lors de son discours)