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La ville d’art reçoit Fabrice Hyber
Il faut écrire, dorénavant, Fabrice Hyber, sans T (il dit se trouver en pleine santé !). Cet artiste de renommée mondiale (plus de 35000 sites internet traitent de son œuvre à travers le monde) a été invité au collège René-Cassin par le bouillonnant professeur Cuomo, spécialisé comme on doit dire à présent en « arts plastiques ». Exit l’ancien « prof de dessin » ! Les élèves devaient réaliser pour l’occasion un « monstre » dans la définition du maître : « tout ce que l’on peut imaginer, ce qui est artificiel ». De nombreuses questions ont été posées par des élèves passionnés par la prestation brillante de l’artiste. Une idée à chaque minute, des réalisations dans tous les domaines de l’art, et même au-delà des limites que l’on croyait fixées une fois pour toutes : Fabrice Hyber est lui-même une sorte de monstre sacré de l’art. Inventeur de la notion des « P.O.F. » (prototype d’objet en fonctionnement), avec une équipe de collaborateurs divisés en plusieurs entreprises, il ne fait rien à la légère. Au Japon, aux USA, au Mexique, dans toute l’Europe, il expose et quand il ira à Shangaï, ce ne seront pas moins de cent expositions autour de son œuvre qui vont être lancées. Pas étonnant, Hyber en chinois, signifie les cent rivières. Elles coulent vraiment dans toutes les directions ! (30/09/2005) Valéry d’AMBOISE, texte et photos : les élèves du professeur Cuomo attentifs ; le maître Fabrice Hyber dans ses œuvres vocales et gestuelles.
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