Wolfgang Charlier Lethiec à l’église
Dans 50 ans, on reparlera de ces
soirées estivales du docteur Frère dans les villages de
l’arrière-pays, comme on s’étonne que de petits paroissiaux
allemands aient pu bénéficier chaque dimanche d’une nouvelle
cantate de Bach. Carte blanche au fameux violoniste Olivier
Charlier, en l’église Ste-Rosalie, c’était bien une carte d’or :
Mozart dans toute sa pureté émotionnelle, dans la « Gemütlichkeit »
viennoise, ce mélange de tendresse, de mélancolie et de joies
fulgurantes. La grande sonate en si bémol majeur pour piano et
violon,
Valéry d’AMBOISE, texte et photos : la foule dans l’église Ste-Rosalie (dont l’intérieur va être prochainement restauré) ; le quintette majeur
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