Dans le n°24 de la revue d’une fraction de l’opposition « l’Echo des Tourrettans », en page 6, sous le titre « Héraut pointé », Marc Picard s’est livré à une attaque injustifiée et diffamante à l’encontre du journaliste Valéry d’AMBOISE qui a exigé un droit légal de réponse. Le texte suivant devra donc nécessairement, en application de la loi, être publié dans la prochaine revue « L’Echo des Tourrettans », à la même page, selon un même espace et dans un corps équivalent.

L’opposition dans le potage ?

A propos de l’article me concernant et signé d’un nom fleurant bon la Picardie :

« Qu’en des termes galants, le compliment s’écoule ;

« Las en billevesées, le poème s’écroule. »

Je n’ai point de maître. Non que je trouve déshonorant la possibilité d’avoir notre maire dans ce rôle : nouveau Yoda, il pourrait m’enseigner la « Force »… de supporter les âneries de ce monde. Non ! Je tiens à mon indépendance et ne suis point employé municipal. Un contrat, comme bien d’autres intervenants, me fixe des règles : relater les événements de la commune et infograver la revue « prête à imprimer » (travail fort technique). Ceci pour moins du SMIG (charges sociales et frais déduits). Pas de quoi se mettre à genoux devant un maître, donc.

Apolitique, ma spécialité, on le sait, est la culture (voir guides-damboise.com). S’adressant bien à 100% de la population, la revue municipale s’intéresse aux : associations sportives ou culturelles, éducation, souvenir, travaux ; en somme, des manifestations de tous bords politiques, sans exclusive ni aucune censure. Je suis à l’origine de la page réservée à l’opposition, depuis janvier 2003, et sans mon intervention auprès du maire, qui a accepté de bonne grâce ma proposition, les minorités en seraient encore à essayer de faire appliquer une loi imprécise (l’espace réservé pourrait être ¼ ou 1/8e de page).

Si j’ai plaisanté sur les propos de Mme Delneufcourt, c’est sans malice, et justement parce qu’ils étaient humoristiques. Alors « cracher dans la soupe » me paraît une formule pour le moins inappropriée. L’homme de Picardie, avec une accusation aussi grotesque, risque de donner l’impression de balancer imprudemment le potage, voire de s’y noyer. Je ne retiens donc que les compliments, dont je le remercie une fois encore. J’essaierai de faire mieux la prochaine fois.

Valéry d’AMBOISE